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navigation | catégories all non classé 18 septembre, 2010 (avril 2012) entretien publié dans l’hebdomadaire rivarol le 14 mars 2008, au moment de la parution d’une brochure de 32 pages intitulé israël et . (incorporée dans la mafia juive) rivarol : hervé ryssen, bonjour. vous venez de publier une brochure sur la “traite des blanches”. dites-nous ce que l’etat d’israël vient faire dans cette histoire ? hr : bonjour. je me suis d’abord basé sur un rapport très officiel d’amnesty international du mois de mai 2000, qui établit que des milliers de jeunes femmes russes, ukrainiennes et moldaves sont aujourd’hui obligées de se prostituer dans des maisons de passe un peu partout en israël. leur malheur a été de répondre à une petite annonce alléchante qui leur promettait un emploi bien rémunéré à l’étranger, comme serveuse ou femme de chambre dans un hôtel. c’est seulement arrivées à chypre ou en israël qu’elles ont compris à qui elles avaient affaire. depuis l’effondrement de l’urss en 1991, ce sont ainsi des centaines de milliers de jeunes femmes d’europe de l’est qui ont été happées par des réseaux de prostitution. israël n’est d’ailleurs pas la seule destination où sont envoyés ces esclaves sexuels, car on retrouvent les filles d’europe de l’est jusqu’en thaïlande et au japon. mais les proxénètes internationaux, eux, appartiennent souvent à une petite communauté qui a beaucoup souffert, et l’etat d’israël est la plaque tournante de ce trafic. rivarol : vous dites que ces jeunes femmes sont réduites à l’état d’esclavage. mais dans un grand pays démocratique comme israël, n’ont-elles pas la possibilité d’alerter la police, tout simplement ? hr : pas vraiment. selon tous les témoignages que nous avons, les filles sont séquestrées dans des centaines d’appartements ou de maisons dont les fenêtres sont munies de barreaux. elles sont sévèrement corrigées, battues, ou même torturées, si elles refusent de coopérer. certaines d’entre elles ont évidemment été tuées. leurs passeports sont systématiquement confisqués et les proxénètes les menacent de mort, elles et leur famille, si elles tentent de s’enfuir ou témoignent devant la justice. de surcroît, la plupart d’entre elles assurent que les policiers sont de mèches avec les proxénètes, d’abord comme clients, mais aussi comme collaborateurs. les filles, elles, travaillent sans arrêt, sept jours sur sept, sans aucun jour de repos dans l’année, sauf à yom kippour. rivarol : comment les filles qui ont témoigné ont-elle pu s’échapper ? hr : elles ont été libérées après une descente de la police, après quoi, elles ont été placées en détention pendant une brève période avant d’être expulsées du territoire comme migrantes en situation irrégulière. d’autres sont incarcérées plus longtemps, dans certains cas, sur la base d’un arrêté du ministère de la justice qui les empêchent de quitter le pays avant d’avoir témoigné. le rapport d’une commission d’enquête du parlement israélien, datant du 23 mars 2005 pointe du doigt les faiblesses de la justice israélienne sur le sujet. on y apprend que les magistrats sont souvent eux-mêmes soudoyés par les proxénètes. les procureurs généraux exigent des peines minimes et ne demandent même pas de dommages et intérêts pour les victimes. les magistrats font aussi parfois bénéficier les proxénètes de l’immunité en les utilisant prétendument comme des indicateurs du monde du crime. rivarol : pourquoi les médiats restent-ils muets sur cette question, d’après vous ? hr : les grands maîtres des médiats projettent toujours sur les autres ce dont ils se sentent eux-mêmes coupables. ainsi, depuis les années 90, on a beaucoup entendu parler de cette terrible “mafia russe”. celle-ci n’a en réalité de russe que le nom, car les plus grandes figures du crime organisé issu de l’ex-urss sont des juifs, possédant la plupart du temps un passeport israélien. semion mogilevich, l’un des principaux d’entre eux, a d’ailleurs été arrêté il y a quelques semaines à moscou, le 25 janvier 2008. il faisait travailler des centaines de jeunes femmes à budapest, à prague et en israël. il s’occupait aussi de racket, de trafic de drogue, de diamants, et était en outre un gros trafiquant d’armes international. n’oubliez pas : c’est un “russe” ! les six ouvrages d’hervé ryssen – les espérances planétariennes (2005), psychanalyse du judaïsme (2006), le fanatisme juif (2007), la mafia juive (2008), le miroir du judaïsme (2009), histoire de l’antisémitisme (2010) – sont vendus au prix de 26 € l’unité et peuvent être commandés à l’adresse suivante : editions baskerville, 14 rue pierre brossolette, 92300 levallois. ajoutez 2 € de frais de port pour la france et l’étranger. 8 € pour les dom-tom. http://herveryssen.over-blog.com/ voici les premières pages de notre chapitre consacré au rôle accablant de la mafia juive dans : depuis la chute du mur de berlin, en 1989, des centaines de milliers de jeunes femmes d’europe de l’est avaient été happées par des réseaux de prostitution et emmenées vers des destinations lointaines. les médiats restaient extrêmement discrets sur ce sujet. au mois de mai 2000, pourtant, un rapport d’amnesty international avait révélé l’ampleur du phénomène et pointé du doigt l’état d’israël, la plaque tournante de ce trafic. (les éditions francophones d’amnesty international. http://efai.i-france.com. human rights abuses of women trafficked from countries of the former soviet union into israel’s sex industry). l’effondrement de l’urss, en 1991, avait provoqué un appauvrissement considérable de la population. pour tenter d’échapper à la misère et de subvenir aux besoins de leurs familles, de nombreuses jeunes filles russes, ukrainiennes ou moldaves, avaient alors répondu à certaines offres alléchantes publiées dans les journaux. malheureusement pour elles, ces offres de travail à l’étranger s’avéraient souvent être des pièges posés par des proxénètes internationaux. le phénomène fut si important que le très cosmopolite new york times du 11 janvier 1998 avait été obligé d’ouvrir le dossier, avec un article de michael specter sur les “naïves femmes slaves”. le journaliste relatait l’histoire poignante d’une jeune beauté ukrainienne de 21 ans qui, de son village, avait répondu à une annonce dans un journal local et s’était retrouvée en israël, contrainte de se prostituer. les filles, apprenait-on, étaient envoyées jusqu’au japon et en thaïlande par des réseaux tenus par les mafieux “russes” basés à moscou. rappelez-vous : à cette époque, tous les médiats parlaient de la terrible “mafia russe”. le jerusalem post du 13 janvier 1998 avait repris ces informations. ainsi, on apprenait qu’il y avait plus de 10 000 prostituées en israël, presque toutes russes et ukrainiennes. les femmes, achetées et vendues par les proxénètes étaient séquestrées dans des bars et des bordels, et rapportaient chacune à leur propriétaire entre 50 et 100 000 dollars par an. le premier rapport sur semble être celui publié le 8 avril 1997 par le cedaw. (committee on the elimination of discrimination against women). ce rapport montrait que le trafic de femmes blanches séquestrées en israël ne cessait de croître. a tel-aviv, des centaines de bars, de maisons closes et de boîtes de nuit animaient la vie nocturne. le tropicana était alors l’une des maisons de passe les plus en vue. une vingtaine de femmes russes y travaillaient, huit en journée, et douze la nuit. les clients étaient des soldats israéliens, des hommes d’affaires, des religieux, ou encore des travailleurs immigrés – ces derniers n’ayant pas le droit d’avoir des relations sexuelles avec les israéliennes, sous peine d’expulsion immédiate. le propriétaire des lieux déclarait : “les israéliens adorent les femmes russes. elles sont blondes, bien fichues, et ont un air désespéré qui plaît beaucoup. elles sont prêtes à faire n’importe quoi pour de l’argent.” les filles n’étaient pas payées, et ne gagnaient que les pourboires. elles travaillaient sans arrêt, sept jours sur sept, sans auc